• Service prestataire/service mandataire

    service mandataire/service prestataire


    Les entreprises ou les associations de services à la personne fonctionne en mode prestataire ou mandataire, parfois les deux.
    Quelles sont les différences entre ces deux modes de fonctionnement ?

    Entreprise de service à domicile mandataire


    Une entreprise ou une association mandataire se charge de recruter un employé pour le compte d'un particulier. Le particulier sera alors l'employeur.
    Néanmoins, une entreprise mandataire peut effectuer certaines formalités administratives ou des déclarations fiscales et sociales pour le particulier employeur (dans ce cas, des frais de gestion seront à payer à l'entreprise).

    Entreprise de service à domicile prestataire


    Une entreprise ou une association prestataire emploie directement des salarié qu'elle met à la disposition de particuliers pour travailler à leur domicile. Le particuliersn'étant pas l'employeur de leur aide à domicile n'ont à se charger d'aucunes formalités administratives.

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  • LES TRANSFERTS

    On appelle transfert le fait de passer d’une position à une autre. Il y a deux types de transferts :

    Le transfert couché - assis :

    Il s’agit de passer de la position horizontale à la position assise au bord du lit. Ce transfert permet d’aller du lit au fauteuil, mais aussi de préparer la sortie du lit pour se mettre debout.

    Chez le sujet âgé ce transfert peut être gêné par des vertiges, souvent liés à une baisse de tension. Il faut donc être patient et laisse au cœur du malade le temps de s’adapter au changement de position ; il faut aussi le faire boire.

    La technique du transfert est très importante. Il faut respecter trois impératifs :

    • Le malade doit être en sécurité : il faut veiller à ce qu’il ne tombe pas du lit, soit quand on le tourne soit quand il est placé au bord du lit. Outre son intérêt évident, il est indispensable que le patient ressente qu’il est en sécurité, sinon il risque d’avoir des réactions de défense, la plus nuisible étant la rétropulsion dont on parlera plus loin.
    • L’intervenant doit être en sécurité : il faut qu’il soit à l’aise pour travailler, qu’il connaisse les techniques lui permettant d’économiser son dos, notamment les techniques de glissé.
    • La manipulation ne doit pas être traumatisante : il faut faire attention aux peaux fragiles que la moindre prise un peu appuyée va léser, au point qu’il sera nécessaire de manipuler le patient avec un drap ; on a trop souvent tendance à essayer de lever le malade en saisissant un poignet et en tirant dessus. C’est particulièrement dangereux, compte tenu de la fragilité des membres supérieurs chez la personne âgée. Le risque est la lésion de l’épaule, plus rarement du poignet ou du coude.

    Quand on veut transférer un patient du lit au fauteuil il faut se préparer, surtout si on est seul. La position du fauteuil est fondamentale : il faut réfléchir à l’endroit où on le met pour que le trajet à accomplir par le patient soit le plus court possible mais sans gêner l’intervenant. Il ne faut pas oublier enfin que les fauteuils roulants ont des systèmes de verrouillage des roues ; on doit toujours les verrouiller avant tout transfert.

    Le transfert assis - debout :

    Le transfert assis - debout réalise la verticalisation du patient. Il va poser les mêmes problèmes de baisse temporaire de la tension artérielle. Mais il y aura en plus un problème de muscles : les muscles des cuisses notamment fondent en quelques jours de lit.

    Il faut donc se méfier des jambes qui fléchissent sous le poids du sujet, et insister pour que les jambes soient toujours bien tendues et les genoux bien verrouillés.

    L’équilibre obtenu est alors souvent instable : le patient a du mal à trouver ses appuis et à se tenir dans cette nouvelle position, il faut donc être particulièrement vigilant ; les choses s’arrangent très souvent dans le secondes qui suivent. Tout comme le transfert couché - assis, le transfert assis - debout doit être préparé : on doit avoir mis en place les sécurités qui permettront d’éviter un traumatisme grave si les choses se passent mal ; pas question par exemple de lever seul un patient trop lourd.


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     1/ Le Vieillissement Humain :

    Les progrès de la médecine ont permis de reconnaître le rôle important des facteurs génétiques, des altérations du fonctionnement cellulaire, ou encore des modifications du métabolisme des protéines.

    1.1/ Définition :

    Le vieillissement est l’ensemble des processus physiologiques et psychologiques qui modifient la structure et les fonctions de l’organisme à partir de l’âge « mûr ».

    Il est la résultante des effets intriqués de facteurs génétiques (vieillissement intrinsèque) et de facteurs environnementaux auxquels est soumis l’organisme tout au long de sa vie.

    C’est un processus lent et progressif.

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    1.2/ Age de la vieillesse :

    OMS : 65 ans et +

    Définition sociale : âge de cessation d’activité professionnelle (55-60 ans)

              Souvent pour les institutions = 75 ans âge d’entrée

    On différencie :  3ème âge > 65 –89 ans

                               Grand âge > 90 ans ------->

     L’âgisme est la discrimination négative vis à vis du « vieux ».

              Gériatrie : discipline médicale prenant en charge la personne âgée

    Gérontologie : étude du vieillissement.

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    1.3/ Effet du Vieillissement sur l’organisme :

    Il s’accompagne d’une diminution des capacités fonctionnelles de l’organisme qui induit une diminution de la capacité de l’organisme à s’adapter aux situations d’agression (stress, infection, traumatisme...). La population âgée est très hétérogène.

    sur les métabolismes :

    - Diminution tolérance sucre

    - Diminution poids

    sur le système nerveux :

                                          - Augmentation  du temps de réaction, + réduction modérée de mémoire par rapport                                         aux informations nouvelles

    - Déstructuration sommeil

    - Diminution de la sensation de souffrance (=> syndrome confusionnel)

    - Risque de chute

    Sur les organes des sens :

    - Presbytie (réduction de l’accommodation)

    - Cataracte (opacification du cristallin)

                                          - Perte de l’audition vers les sons aigus

    Sur le système cardio-vasculaire :

                                         - Diminution capacité respiratoire (diminution muscles, + diminution diffusion de
                                            l'oxygène)

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             Sur l’appareil locomoteur :

    - Diminution masse musculaire, + Diminution force musculaire

    - Ostéoporose (plus particulièrement chez les femmes)

    Sur l’appareil urinaire :

    -         Diminution capacité rénale

    -         Diminution de la capacité des sphincters à se contracter

    Sur les organes sexuels :

    - Diminution de la sécrétion de testostérone + augmentation du volume de la prostate

    - arrêt du cycle menstruel : involution de l’utérus et des glandes mammaires

    - arrêt de sécrétion des oestrogènes

    Sur la peau et les phanères :

    - Altération du tissu élastique

    - Diminution de la vitesse de croissance des cheveux et des ongles

    - Diminution des mélanocytes => grisonnement des cheveux

     

    Sur le système immunitaire :

    - moins de réaction

    Certains sujets > 100 ans ne présentent aucun de ces symptômes.

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    1.4/ Stratégies pour ralentir le vieillissement :

    - le respect d’un poids idéal chez l’adulte

    - l’activité physique (ralentit la diminution masse musculaire, liée à l’avancée en âge. Effet sur les fonctions cardio- respiratoire + préventions des chutes).

    - Correction des déficits hormonaux : traitement substitutif de la ménopause (effet sur l’os, la peau, les organes urogénitaux et le cerveau)

    - Injection hormones de croissance à certains sujets âgés => ralentissement du vieillissement de la peau.

     - D.H.E.A, (stéroïde surrénalien), améliore certaines fonctions mnésiques sur le rat âgé            (chez l'homme en cours d’expérimentation).

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    3/ PRISE EN CHARGE DE LA PERSONNE AGEE :

     

    3.1. Les Traumatismes les plus fréquents 

    3.1.1. Les chutes 

    Des sujets de plus de 65 ans et la moitié de ceux de plus de 85 ans font au moins une chute voir plus par an. C’est un facteur d’entrée dans la dépendance (40% entrent en institution, 12 000 décès en France / an dus aux chutes).

    Elle peut être la conséquence d’une perte de l’équilibre (diminution des mécanismes d’adaptation), d’une affectation aiguë, d’un effet indésirable d’un médicament (somnolence, hypotension) ou  c’est un appel à l’aide.

    La marche est une activité rythmique, motrice automatique qui demande un apprentissage dès l’enfance.

    Facteurs de risques :

    - Neurologiques : Maladie de Parkinson

    - Neuromusculaire : Artériopathie, A.V.C. myasthénie

    - Ostéo- articulaires : atteintes articulaires chevilles, pieds…Cyphose, arthrose cervicale

    -         Autres :visuelles comme la Cataracte, le glaucome,

    -                      une diminution de l’adaptation à l’effort

    -                      la dénutrition,…

    Facteurs précipitants :

                   Intrinsèque :

    - Hypotension orthostatique

    - Accident Vasculaire Cérébral.

    - Problèmes métaboliques (hypoglycémie, hyponatrémie)

                   Extrinsèque :  

    - Environnementaux : habitat mal adapté, sol mouillé, objets mal rangés, chaises bancales, tapis, port de chaussures inadaptées maintenant insuffisamment le pied , le chat sur le sol faisant obstacle...

    Les conséquences de la chute :

    - fracture du fémur : fracture du col souvent (6 à 8%)

    -Pour les plus graves :

    . l’immobilisation peut faire perdre  les réflexes acquis

    . peur de remarcher =>  perte d’autonomie (peur aussi de la famille que la personne âgée retombe).

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    3.2.Confusion et Démences 

    Le syndrome démentiel est un état d’altération progressive et irréversible des fonctions cognitives.

    ils existent des démences  dégénératives corticales :

    - maladie d’Alzheimer

    - démences fronto temporale

    des démences dégénératives sous corticales, et des démences vasculaires

    La démence est souvent la 1ère cause d’admission en institution

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    3.2.1 Modification au grand âge 

    Modification macroscopiques :

    -         le poids du cerveau diminue de 2% par décennie après la cinquantaine Þ atrophie corticale qui prédomine au niveau frontal et temporal

    Histologie :

    - Les neurones ne se renouvellent pas

    - Les plaques séniles (débris de neurone) augmentent avec l’âge

    Modifications Vasculaires :

    -La circulation cérébrale est préservée en priorité quelque soit l’état circulatoire général

    Les Performances Intellectuelles :

    - Conservées :

    . l’Intelligence globale

    . la Capacité à comparer avec des expériences antérieures

    . la Créativité artistique

    - Diminuées :

    . la Vitesse d’exécution et de réponse

    . La mémoire d’acquisition ou d’apprentissage

    . le Raisonnement inductif

    Importance du contexte psychoaffectif, culturel et sensoriel 

    => à Un  Niveau d’éducation élevé maintient les performances intellectuelles (intérêt pour la lecture, les nouveautés….)

    => à Contexte psychoaffectif : la famille est importante car il y a diminution des relations sociales

    => à Contexte sensoriel : diminution vue et audition

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    3.2.2. Confusion mentale 

    Elle n’est pas spécifique de la personne âgée mais celle-ci est plus fragile.

    La Cause est souvent: un deuil, une hospitalisation, un contexte douloureux.

    Tableau clinique :

    - soudaineté

    - Vigilance  altérée (somnolence)

    - Humeur : anxiété, incompréhension

    - Langage troublé : recherche des mots

     Traitement :

                       Recherche biologique (type hyponatrémie….) + examens     complémentaire(épilepsie fronto temporale).

    Conduite à tenir avec le sujet atteint de confusion mentale:

    - Calmer et rassurer

    - Éviter le bruit, l’agitation, la panique

    - Lui parler en le nommant

    - Se présenter en le nommant

    - Le regarder en face

    - Ton de voix calme et rassurant

    - Expliquer la situation

    - Ne pas attacher

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    3.2.3. La maladie d’Alzheimer 

          60% des démences en Europe, découverte par Alois Alzheimer en 1906.

         Elle est caractérisée par une perte neuronale surtout au niveau du cortex temporal, des dégénérescences neurofibrillaires et des plaques séniles en grand nombre (protéines…).

    L’acétylcholine est le neuromédiateur le plus diminué dans cette maladie.

                   Signes cliniques :

    . Troubles intellectuels portant sur la mémoire, les fonctions exécutives, le langage, la cognition , les praxies.

     Généralement  en 1er troubles de la  mémoire sur les faits récents, puis sur les faits anciens ; ensuite des modifications du comportement (perte d’initiative, état dépressif) apparaissent avec un retentissement sur la vie quotidienne.

    Puis  1°/ Désorientation temporo spatiale

      2°/ Trouble de la  fonction exécutive = ne plus planifier le retour en bus…

        3°/ Trouble du  langage, oubli des mots ou aphasie…

        4°/ Troubles praxiques

            5°/ Trouble gnosiques :

    Pas d’atteinte de la vigilance et de la motricité au début

    6°/ Trouble de l’humeur = changement de caractère, agressivité…

    Il y a différents stades de la maladie : un stade léger, un stade moyen puis un stade sévère. La maladie d’Alzheimer peut entraîner au dernier stade  comme « un oubli de soi, un oubli de survivre ».

    le traitement :

     Il est médicamenteux : anticholynesthérase (blocage de l’enzyme dégradant l’acétylcholine) ex : Aricept, Exelon, dans les 1er stades, il ne guérit pas mais ralentit le processus.

    La Prise en charge ne se limite pas au traitement symptomatique et médicamenteux des troubles de la mémoire. Il existe un risque important que l’entourage prive le malade de toute activité par honte et crainte ou par peur que la personne ne se fasse mal Þ déperdition de ce qu’il reste d’autonomie.

    Conduite à tenir 

    Maintenir un bon état physique :

    - Encourager la marche par des promenades quotidiennes

    - Stimuler la pratique d’activités quotidiennes : cuisine, vaisselle, bricolage : le surveiller ou le guider

    -  maintenir la notion de plaisir

    - Maintenir une vie sociale

     

    Des groupes peuvent suppléer la famille :

    - Groupe de stimulation de la mémoire

    - Prise en charge par un orthophoniste

    - Atelier d’expression artistique

    - Musicothérapie

    - Contact avec des animaux de compagnie

                       Il est essentiel de prendre en compte la famille dans la maladie d'Alzheimer.

     

    Les États Dépressifs :

    Ne pas confondre avec la démence mais ces deux pathologies peuvent être intriquées.

     

    Quelques signes identiques avec la maladie de Parkinson :

    - Dévalorisation

    - Pessimisme

    - Idée suicidaire

    - Trouble sommeil, appétit….

    En parallèle des traitements médicamenteux , il est important d’améliorer la revalorisation de la personne.  Quelquefois on réalise de la sismothérapie (électrochocs).

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    3.2.4. la maladie de Parkinson 

    Maladie neurologique fréquente affectant plutôt l’homme que la femme autour de la 60ème année .

    C’est un syndrome de déficience de la voie dopaminergique.

    Pose 3 problèmes :

    - Pronostique avec la sévérité du handicap

    - Thérapeutique : fluctuation et efficacité variable dans le temps ;les effets secondaires du traitement sont importants.

    -         50% des parkinsoniens graves présentent une démence type Alzheimer

     signes cliniques :

    - l’Akinésie = perte du ballant des bras à la marche, rétro pulsion

    - l’Hypertonie = rigidité cède par « à coups », l’écriture devient illisible, la démarche devient hésitante lors d’obstacle.

    - Le tremblement = au repos, s’exagère quand il y a une émotion surtout à la main (mouvement d’émiettement)

    - Les troubles thymiques et du comportement = le patient est dépressif avec pleurs

     traitement :

    - La L.Dopa => les effets thérapeutiques diminuent avec l’évolution de la maladie

    -         d’autres substances permettent la diminution du tremblement mais peuvent aggraver les troubles confusionnels (anticholinergique).

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  • Plan Solidarité-Grand âge 2007-2012

    25 mai 2007


    Assurer aux personnes âgées dépendantes le libre choix de rester à domicile :
    -  En développant l'offre de services et de soins : services d'aide et d'accompagnement à domicile, services de soins infirmiers, hospitalisation à domicile, accueils de jour, gardes itinérantes de nuit...
    -  En soutenant davantage les aidants familiaux avec la création d'un congé de soutien familial.
    -  En assurant une continuité entre domicile et maison de retraite.
    -  En augmentant le nombre de personnels soignants pour disposer, au terme du Plan, d'un professionnel par résident dans les établissements accueillant les personnes âgées les plus dépendantes.
    -  En améliorant la qualité de vie. Insuffler une nouvelle dynamique à la recherche et à la prévention
    -  En généralisant dès 2007 une consultation gratuite de prévention pour toutes les personnes âgées de plus de 70 ans.
    -  En lançant un grand programme de recherche sur les maladies du grand âge, la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson et les pathologies apparentées. L'ensemble des mesures du Plan Solidarité Grand Age représente un coût de 2,3 milliards d'euros. Inventer la maison de retraite de demain et permettre aux personnes âgées vulnérables de mieux y vivre
    -  En maîtrisant les prix et en diminuant le reste à charge des résidents et des familles. Adapter l'hôpital aux personnes âgées
    -  En développant et en labellisant les filières gériatriques.
    -  En resserrant les liens avec le domicile et avec la maison de retraite. Garantir pour l'avenir le financement solidaire de la dépendance
    -  Garantir un haut niveau de protection sociale face à la dépendance et le pouvoir d'achat de l'allocation personnalisée d'autonomie en termes de services et d'aides. Ministère



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